DERNIÉRES PARUTIONS C’était le vendredi 27 Août, la Sainte Monique. Ma fête ! Une vraie Fête avec le plus beau des cadeaux : ILS sont arrivés ! ILS sont là ! Dans les locaux de SURYA-ÉDITIONS, sur des montagnes de cartons, ils se montrent enfin, ils dévoilent...

TEMPS DES POÈTES Au-delà des mondes Les étoiles du poète Rêvent d’infini. Le temps du poète Recueilli au firmament Se compte en étoiles. Les prisons du cosmos Ne peuvent tenir captif L’infini de l’âme. (Monique MERABET)

SÉCHERESSE Plaques craquelées Enchevêtrements, fêlures Endiguant la vie. Sur la terre nue Le vent sanglote une plainte Requiem latent. Poussière insensible Où se perdent les empreintes Des quémandeurs d’eau. (Monique MERABET)

C’ÉTAIT UN 26 AOÛT… Le 26 Août 1789 exactement : La Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen. Un bel anniversaire qu’il convient de ne pas oublier… de ne pas laisser se déliter sous les coups de boutoir des lois égoïstes et sécuritaires d’un monde...

(image Flickr) JE DENONCE Je dénonce tous ces gens Qui ne pensent qu'à leur argent Alors que de l'autre côté du globe Il n'y a pas que des snobs Il y a des démunis Qui presque jamais sourient Et qui sont en train de rêver Que l'on vienne les aider Je...

Ecrit par Adrien, le 16 février 2008. Qu’est ce que je peux faire ? Pour une prairie Lui planter de l’herbe Pour un S.D.F. Lui donner de l’argent Pour un malade Lui faire un don Pour un bébé S’en occuper Mais la plus belle chose que je peux faire, c’est...

Chère Blog. B. En paraphrasant Georges Brassens, je dirai que "C'est pas seulement à Brignoles que les graffs ont fleuri sur les murs de Saint-Denis aussi les arcs-en-ciel s'envolent..." Bon! Je ne sais pas si le graffeur(graffiste?) avait de nobles motivations...

(Photo offerte par Brigitte) JOYEUX ANNIVERSAIRE BRIGITTE ROSE MA SŒUR La rose, au Temps, dit : « Je suis la grâce éternelle » Le Temps ricana. Dans la nuit limpide La rose méditative, D’un parfum léger, A remercié Pierrot Pour son ode à Dame Lune. Rose,...

QUI SAURA L'ADRESSE DU VENT? Les herbes fauchées Qui pourra me dire encore L’adresse du vent ? Pétales de rose Eparpillés dans la brise Bonheurs envolés. Contre l’arbre-mère Un arbrisseau se blottit Pour narguer la brise. Et les vertes chevelures Frémissent...

PARENTHÈSE Les instants volés, Pour recomposer un monde Se parent de rêves. Moments éblouis Quand s’ouvre une fenêtre Sur un paradis Les trois oiseaux Acrobates du benjoin Sifflent un haïku Notes de sérénité Parenthèse d’harmonie. (Monique MERABET)