Capucines

Publié le par Monique MERABET

Capucines

La marchande de fleurs explique

Ses capucines en treillis

Jalons d’une enfance édénique

Vous cascadiez en flots rubis

 

 

 

L’orange vif des capucines

Estompe la grue, le brouillard.

Ces mots que l’espoir illumine

Écrire… il n’est jamais trop tard.

Publié dans Pantouns de printemps

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
Merci, Monique, pour ces renseignements utiles. J'avoue ne pas connaître ce qu'est un pantoun. Ce qui compte, c'est surtout suivre ses envies d'écriture.<br /> <br /> Actuellement je dresse un bilan-écriture après 18 années d'approches diverses du genre haïku (francophone). J'ai nettement constaté avoir "évolué" vers le haïku minimaliste, bref. Je prépare une synthèse qui sera publiée dans Gong en 2017. La 6 ème version est écrite.<br /> <br /> Bonne suite pour vos écrits...
Répondre
M
Il est toujours intéressant de suivre l'évolution d'une écriture, lorsque l'auteure est compétente. Mais pourquoi - actuellement - ce " retour " au quatrain " français " avec des vers rimés, des 8 syllabes ? Serait-ce la "francophonie" (élégie) qui prend le dessus ?
Répondre
M
Contente de te retrouver Marcel. Non il ne s'agit ni d'un retour vers la poésie régulière, ni même d'une "évolution" véritable. Une évolution a un but défini, ce qui n'est pas mon cas. En fait, je suis plutôt touche-à-tout et là il s'agit d'aborder cette forme qui me reste difficile à cerner, celle du pantoun (pas pantoum) malais. Il s'agit d'écrire un poème court (pas obligatoirement un quatrain mais pas un tercet non plus) où une première partie fait état d'une observation et une seconde partie un sentiment inspiré plus ou moins directement par cette expérience. Je l'apparente un peu au tanka... Et la rime et la forme octosyllabique, c'est pour me donner un cadre. Et puis je me suis lancé le défi d'écrire (presque) un pantoun chaque jour. ... enfin, si cela ne devient pas trop fastidieux.<br /> Je posterai prochainement un ou deux textes sur l'écriture des haïkus. A bientôt.
B
et je répèterai encore et encore ton dernier vers
Répondre
M
Je l'ai sans doute écrit pour toi Blandine! Je t'embrasse.